Highland Park 12 ans Hjärta

58.1% alc./vol.
Édition limitée de 3924 bouteilles, embouteillée au taux original non-dilué et disponible seulement à la boutique de la distillerie.

André et Benoit 90.5%
Bacon fumé à l’érable, vernis à bois, intérieur de vieux bahut. L’alcool vient assécher le nez qui transige sur une bouche aux mêmes saveurs du nez à laquelle s’ajoute une belle poussée florale mielleuse et une odeur de coffre de cèdre. La finale (où il perd des points) est rectiligne à forte saveur de tangerines. Avec un peu d’eau un goût de cire d’abeille apparait. N’a pas la prestance du Earl Magnus mais un Highland Park intéressant et abordable n’eut été de le trouver aussi loin.

Patrick 93%
Sirop de bonbons légèrement brûlés et vanille intense. Au goût, très vineux, un peu épicé et une touche de chocolat noir, de sel et de bois brûlé. Aussi, un succulent miel! J’en veux encore!

Martin 89.5%
Orangé d’un HP non-dilué. Nez: Orge séchée, bruyère et miel en puissance. Jerky et planche de chêne. Herbeux et fumé. Bouche: Huileux, marqué par un rayon de miel épicé, chêne gorgé de vin rouge corsé. Finale: Plutôt courte pour son taux d’alcool, sur des notes de chocolat noir, d’épices, de fumée et de lardons. Équilibre: Solide, comme presque tous les HP. Seule ombre au tableau, et ne me pitchez pas de roches, Highland Park est un malt qui n’a pas besoin d’être embouteillé cask strength pour briller.

RV 86%
Raisin et heather plus texturés, mais aussi plus secs. Au goût belle petite pointe aigre de sève de conifère. Finale ordinaire mais beaucoup plus balancée que le reste. L’alcool plus fort se sent mais n’amène rien de plus et pour une fois je comprendrais la compagnie de le couper à 40% pour avoir plus de revenu par baril. Un whisky de balance mais pas de beaucoup d’autre chose, peut-être un peu trop prudent.

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