Bruichladdich Octomore Edition 07.2 Ochdamh-Mòr 5 ans

58.5% alc./vol.
Affichant un incroyable 208 ppm au compteur de la tourbe, et toujours élaboré à partir d’orge 100% écossaise, l’Octomore 7.2 est cette fois-ci, élevé en fût de chêne américain et en fût de Syrah des plus grands vignobles de la vallée du Rhône septentrionale. Édition habituellement destinée au duty-free.

André 91%
Fumée puissante et contrôlée, notes de fruits rouges et de vin rouge, d’oranges, sensation cendreuse, cerises noires, vanille crémeuse. Le nez est fin et raffiné malgré le haut taux de ppm et le taux d’alcool décoiffant. En respirant, les notes de vin rouges sont encore plus présentes. En bouche, équilibre et dualité de saveurs divergentes ; fruits rouges, vanille, fumée de tourbe fruitée et encore cette sensation cendreuse en texture de bouche. La finale est sèche et on ressent presque les notes tanniques du vin rouge. Une belle expression encore une fois. Le savoir-faire de McEwan est indiscutable et lui seul a le talent de nous faire visiter des contrées inconnues de cette façon.

Patrick 91%
Un superbe Octomore, frais et intense, qui m’a mis un grand sourire béat sur le visage. Nez : Beau parfum frais, avec de la savoureuse fumée, des notes d’orange, de subtils fruits rouges, de la vanille, du cuir et un petit quelque chose me rappelant une écurie. Bouche : Grosse vague de fumée, épices chaleureuses, quelques fruits rouges, cendre, agrumes, vanille très sucrée et évidemment, autant de tourbe qu’on peut en souhaiter ! Finale : D’une longueur moyenne, marquée par la fumée et les agrumes.

Martin 92%
Nez: Que serait un Octomore sans sa tourbe signature? Fumée légendaire, un peu d’orange, de cerise et de vanille. Son taux d’alcool est d’une sournoiserie. Bouche: Cuir et fruits rouges, bois et épices, petit punch d’alcool pas trop piqué des vers. Vanille et tourbe. Superbe duel qu’on ne retrouve que parfois chez Ardbeg, et encore! Finale: Belle longueur, marquée par les épices, la fumée de tourbe et les agrumes. Équilibre: La tour noire d’Islay a encore frappé. Rares sont les Octomore qui ne nous jettent pas sur le derrière.

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