Balcones Texas Single Malt Whisky

53% alc./vol.
Batch SM12-7, embouteillé le 30 août 2012 et vieilli en fûts de chêne américain.

André 89%
Gâteau aux bananes et raisins bien chaud, recouvert de sucre surchauffé, crème à la vanille. Jamais on ne devinerais la haut taux d’alcool, mis à part le collier de perles créé par le 53% d’alcool lorsque l’on verse le verre, c’est doux comme les cuisses d’une femme. Drapé et très doux en bouche, relevé d’un léger chauffé-brûlé, le taux de sucre est passablement élevé et cache bien la force et la puissance de l’alcool. Compote de fruits menant à une longue finale de sucre caramélisé, de céréales Sugar Crisp, le tout cloué sur la langue par l’alcool. Wow !

Patrick 91%
Nez de cassonade et caramel avec une pointe d’orge. En bouche, une belle vague de fruits épicés sur fond de sucre d’orge. La finale est marquée par le sucre d’orge et s’étire longuement sans que nous ne devinions que le taux d’alcool est si élevé. Wow. J’en veux plus.

Martin 89.5%
Nez: Céréales légèrement grillées, caramel, vanille du fût de chêne, saisissant et prometteur. Le torrent de vanille fruitée dissimule habilement un fond de boucane. Si on le laisse s’ouvrir, cacao, menthe et petit caramel Kraft viennent nous narguer. Bouche: Une alternance vanille et chocolat à fond la caisse. Épicé et mielleux. C’est à s’y méprendre, je jurerais goûter à un cask strength de Mackmyra encore inconnu, et venant de ma part c’est un sacré compliment. Finale: S’étire langoureusement sur des notes de chocolat. Équilibre: Le seul single malt du Texas a su laisser sa marque. Il a tout ce qu’il faut, et sa petite fumée qui vient couronner le tout confirme la place du Balcones Texas Single Malt Whisky comme roi des single malts américains.

RV 88.5%
Est-ce que le climat de l’Écosse a réellement un impact sur le goût des single malts? Bien que ce soit un single malt, l’impression est qu’il restait toujours du Baby Blue dans la cuve de fermentation de ce single malt. Avec l’aspect de pain de certains Balvenie, l’arrivée est dans le même style, le tout entouré d’une étrange fumée piquante qui ressort au-dessus de l’alcool. La finale longue est sous le signe du pain doré et la bannière de ce qui semble une succursale américaine de Balvenie. Et vive cette nouvelle franchisée gustative.

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