Arran 17 ans

46% alc./vol.
Édition limitée à 9000 bouteilles.

André 91%
Superbe nez orangé, wow hallucinant !!! rond et mielleux, fruits tropicaux. Incroyable balance en bouche, juste un peu d’épice comment accent et une vague d’orange et de fruits tropicaux nappés de miel chaud. L’alcool est bien dosé, l’ensemble rafraichissant, l’équilibre est parfait. J’aurais juré l’utilisation de fûts de bourbon, parce que les notes de sherry sont presque imperceptibles, les fruits sont là mais pas les fruits rouges ou le sherry comme habituellement. La finale est bien longue, légère astringence en fond de bouche et encore cette vague de fruits tropicaux, d’orange et de cerises rouges chocolatées. Ce 17yo est encore une fois la preuve du savoir faire de la distillerie, de l’évolution de ses parutions et de sa constance au niveau de la haute qualité d’exécution. Bravo!

Patrick 91%
Le nez plutôt léger ne laisse pas présager un tel whisky. Complexe, intense, délicieux, mon plus grand souhait est que la distillerie en fasse rapidement une édition régulière avec un rapport qualité/prix aussi exceptionnel que leur 10 ans. Nez: Chaleureuses épices, touche d’agrumes et un peu de bois brûlé. Bouche : D’abord une vague salée typique de la distillerie, suivie rapidement d’orge légèrement épicé, d’une pointe de xérès, de caramel et de chocolat à l’orange. Finale : Longue et savoureuse, où la fumée se confond avec la chaleur des épices du xérès.

Martin 91%
Rayon de miel foncé, orange profond, presque rouillé. Nez: Un océan de vanille citronnée nous révèle sous ses vagues de l’orange, du miel et une goutte de gingembre, le tout dans une subtilité désarmante. Bouche: Extrêmement doux, mielleux et fruité. Une pointe d’épices ouvre le bal pour une procession de pommes, de vanille et de latte de chêne gorgée de xérès. Finale: Ne traîne pas très longtemps, mais marque des points avec ses notes de raisin, de pomme et de toffee. Équilibre: Un des plus grands Arran, c’est certain. C’est pas juste bon, c’est divin. Une autre édition limitée qu’on risque de ne jamais voir en SAQ.

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